Laurentine Froger

Accompagnante Relationnelle

Qui suis-je ?
Un parcours relié à l’humain

Travaillant initialement dans le domaine de la petite enfance, mes activités salariées et bénévoles se sont ensuite diversifiées vers un public plus large: personnes handicapées moteur, personnes âgées, mineurs en difficultés sociales, personnes sans domicile fixes, aidants familiaux, etc.

Derrière les actes du quotidien demandés à travers mes fonctions, j’entendais souvent un besoin du public de s’exprimer, d’aller plus loin que de recevoir « simplement » une aide médicale, sociale.

Par ailleurs, les crises existentielles et/ou relationnelles dont me faisaient par ces personnes étaient nombreuses. il n’existait pas ou peu d’acteurs du territoire capables d’accompagner ces personnes dans la résolution de leurs problématiques, ou bien ceux-ci n’étaient que peu accessibles (tarifs élevés, isolement géographique, etc).

Laurentine Froger

La prise en compte du manque d’offre par rapport à la demande
En parallèle de ce que j’entendais quand aux besoins des publics auprès desquels j’évoluai, je me suis également rendu compte que le domaine inter-relationnel, pourtant omniprésent dans nos vies, ne bénéficiait socialement d’aucun apprentissage: Aujourd’hui, dans notre société actuelle, il n’y a nulle part où l’on apprend la bienveillance, l’écoute active, le travail sur nos représentations, etc… au même titre que l’on apprend la politesse en familles ou les mathématiques à l’école.
Un accompagnement proposé au plus près des besoins de chacun
Ainsi, j’ai eu envie de rassembler ce qui d’après moi forme deux « lacunes » sociales, dont j’entendais les manques que ressentaient les individus. Je me suis donc formé au Conseil Conjugal et Familial, en 2022, à L’AFCCC (Association Française des Centres de Conseil Conjugaux), afin de pouvoir proposer ces différentes pratiques:

Accompagner, d’une part, les personnes en difficultés relationnelles (conjugales, familiales…), et d’autre part, aider les individus à avancer dans leur chemin de vie, à comprendre d’où ils viennent ( à travers leur trans-générationnalité), et à traverser leur crise existentielle (maladie, changement de mode de vie…).

C’est au plus profond de soi que l’on rencontre les autres

Gaston Miron